Février frappe à la porte et entre avec toute son « épicerie spirituelle » qui nous donne la force de contempler le Maître Jésus en plein ministère de prédication. Tout se passe après son
Baptême!
La « nourriture spirituelle » de cette semaine nous fortifie d’abord par son « Entrée » composée comme suit : Méditation sur la vie publique de Jésus qui, sous l’impulsion de l’Esprit, accomplit
toutes les actions de guérisons, de miracles, de prédications.
Dans tout ce qu’il accomplit, il est en pleine communion avec l’Esprit et en s’appuyant sur les Saintes Écritures.
Lui, modèle indépassable nous invite à être toujours attentifs aux appels de l’Esprit, à agir en communion avec lui.
C’est une forme d’adoration perpétuelle qui nous pousse à rester branchés sur lui en tout ce que nous faisons de bien dans nos vies.
Mais, ne pensons pas que tout se passera sans obstacle, sans rejet. Oh non! C’est là le « plat principal » de notre « menu spirituel »: Contemplons Jésus à sa première prédication à Nazareth
où une grande partie de son peuple refuse de croire en le rejetant, au point même de vouloir le lapider (réf. Luc, 4, 21-30).
N’oublions pas que même ses disciples ont vécu la même expérience de rejet, d’adversité tout au long de leur vie.
N’est-ce pas que même aujourd’hui, dans le monde, des croyants et croyantes sont innocemment persécutés, maltraités, rejetés…!
Contemplons le Christ dans sa détermination d’accomplir sa Mission qu’il nous confie en sachant que tout n’ira pas sans difficultés.
Prenons conscience que chaque personne baptisée est appelée à persévérer dans sa mission malgré les obstacles.
Appuyons-nous sur la parole du Maître qui nous rassure et nous réconforte : « … Et moi, je suis avec vous, tous les jours jusqu’à la fin du monde » (Matthieu 28, 20).
Un bon « dessert » à notre « menu spirituel » de la semaine : Poursuivre la mission avec amour pour clé, dans la paix et la joie intérieure que personne ne peut nous ravir!
Loué soit Jésus le Christ!
Grâces et Bénédictions dans nos maisons, lieux d’adoration perpétuelle!
Fraternellement,
A. Léo
